29 janvier 2012
Kaolin - Partons vite
Août.
Chaleur sur l'autoroute.
Lunettes de soleil et sourire collé aux lèvres.
Compil de circonstance en boucle dans le lecteur.
Coffre plein à craquer de bouffe, de tentes en vrac
et de maillots de bain.
Et la guitare accrochée sur le toît.
Ca dort, derrière.
Je veux entendre, ton cœur qui bat,
tu sais, je crois qu’il chante pour moi
Mais en douceur, comme ça tout bas,
comme un sourd
Mon cœur lui s’emballe, il vole haut,
peut être un peu trop haut pour moi
Mais je m’en fous, je suis vivant
pour de bon. ♫
Regards par la vitre.
Elle est où la mer ?
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